Vous êtes une étudiante débordée ? Une businesswoman overbookée ? Vous avez forcément connu des petits passages à vide au travail. Des clients ou des supérieurs très exigeants, des collègues réticents au moindre changement ? Vous, au milieu de la pièce… Vous êtes agacées… Oui, eh bien c’est normal. Bienvenue dans le monde du travail !
Au boulot, il y a des hauts et des bas. Des petites victoires, entrecoupées de grandes déceptions. Ou l’inverse. Mais là n’est pas l’essentiel. Lorsque vous êtes au top, vous vous sentez pousser des ailes, rien ni personne ne vous fait barrage, les victoires sont nombreuses, mais le confort au travail inconstant.
L’intérêt de certains postes (dont le mien) réside dans l’existence de défis et challenges. Des petites missions de dernières minutes à réaliser dans l’urgence pour qu’un projet soit mené à bien. Il arrive que ces cas-là provoquent des pics de stress souvent suivis par de grandes satisfactions. Ce sont ces moments qui remplissent mon existence. Ces moments que je recherche avant tout. Pour cela, on nous demande de garder la tête froide et de nous investir à 100%. Ok parfait !
Quand le boulot vous possède, il est certain que, comme moi, vous savez que les périodes de confort au travail ne sont jamais pérennes. Je dirais même qu’elles sont annonciatrices de petits échecs, de difficultés, d’obstacles à surmonter ou encore de critiques à essuyer. C’est dans cette dernière situation que j’écris ces mots.
Forcément, à un moment vous allez vous dire que les échecs font partie de l’apprentissage. Pourtant, l’autre petite voix dans votre tête vous dira que vous avez failli quelque part ! Et puis, petit à petit vous arrivez enfin à prendre du recul sur les choses. Mais attention, le constat est une douche froide !
Constat 1 :
- Qui dit boulot, dit satisfactions et échecs
- Qui dit poste valorisant, dit grandes responsabilités
- Qui dit travailler avec les autres, dit supporter les humeurs et les personnalités des uns et des autres
Constat 2 :
- S’investir autant dans le boulot révèle parfois le vide de notre vie personnelle.
- La place du travail dans notre vie s’accroît dans les moments de célibat.
Le cercle vicieux :
- Le risque de ne vivre que pour cela, donc de ce fait, s’isoler et ne plus profiter des plaisirs de la vie.
La solution pour parer aux coups de blues liés au travail – Comment évacuer ?
Choisir la bonne personne avec qui parler. Celle qui n’ira pas répéter vos confidences une fois votre dos tourné. Il faut avoir un ou une alliée au travail, et de préférence une personne d’à peu près son âge. Il demeure des problèmes ou des ressentis au travail, propres aux générations. Attention, pour faire durer une telle relation, vous devez écouter votre alliée autant que partager vos préoccupations. Car elle aussi aura besoin de se confier à un moment ou un autre.
La règle de base lorsque vous parlez boulot à votre alliée :
La confiance. Si jamais vous avez des doutes là-dessus ou si vous venez de connaître votre alliée, veillez toujours à ne pas vous mettre dans une position délicate. Évitez donc de critiquer vos supérieurs, les personnes que votre alliée apprécie… Veillez également à parler des faits dans vos confidences tout en exposant vos sentiments. En effet, vous devez toujours prouver votre bonne foi pour rester crédible. Une alliée qui écoute vos histoires doit comprendre le contexte dans lequel vous êtes actuellement. Si vous confiez vos sentiments sans parler des faits, et vice-versa, vous aurez vite fait d’ennuyer votre alliée. À la longue, il se pourrait que vous obteniez l’effet opposé à votre objectif de départ.
Sur ce, au boulot ! Soyez fortes !
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